CONNAISSANCES PHOSPHENIQUES
DEVELOPPEMENT INTELLECTUEL & INITIATIONEn 1959, le Docteur LEFEBURE était médecin scolaire, professeur de Sciences et de Mathématiques.
Il connaissait donc parfaitement bien les problèmes rencontrés par les enfants, mais aussi ceux auxquels les enseignants se trouvent confrontés.
Il connaissait donc parfaitement bien les problèmes rencontrés par les enfants, mais aussi ceux auxquels les enseignants se trouvent confrontés. C’est pourquoi la pratique des phosphènes est adaptée à toutes les formes d’enseignement, et a des retombées extrêmement importantes sur les résultats scolaires, qui se trouvent rapidement améliorés. En outre, à l’âge de 18 ans, à l’époque où il faisait ses études de médecine, Francis LEFEBURE reçut une initiation par un zoroastrien, Arthème Galip, qui déclencha chez lui de très nombreux phénomènes psychiques. Sa formation de médecin et de physiologue lui permit d’étudier en profondeur les processus physiologiques de ces phénomènes, les rendant accessibles à tous.
La simplicité de cette méthode permet des applications pédagogiques immédiates, susceptibles d’intéresser enseignants et pédagogues ; étudiants, parents et enfants. Depuis 39 ans que le PHOSPHENISME existe, il n’en est pas à son premier coup d’essai. Des dizaines de milliers d’enfants, d’étudiants et d’adultes, l’ont déjà utilisé dans le monde entier, pour les études et l’apprentissage. La simple pratique permet de constater l’efficacité de la méthode, non seulement dans le cadre des études, mais également dans toutes les activités de la vie, car l’action stimulante des phosphènes persiste entre les séances.
Les difficultés croissantes rencontrées dans l’enseignement, et l’échec scolaire généralisé au point que l’on en arrive à appauvrir la langue française afin, pense-t-on, de faciliter la lecture et l’écriture, pourraient bien trouver certains éléments de réponse grâce à l’utilisation des phosphènes dans le domaine pédagogique, pour lequel ils sont particulièrement adaptés ; ou même dans la simple pratique personnelle pour un mieux être et l’entretien de ces capacités cérébrales auxquelles nous tenons tant.
QU’EST-CE QU’UN PHOSPHENE ?
Le mot phosphène vient du grec “phainein” qui veut dire “apparaître”, mais aussi “briller”. Le mot “phène” a été créé en 1834 pour les besoins de la chimie, pour laquelle il désigne le noyau de benzène. D’où la dénomination de ses dérivés qui contiennent la même racine ; le “phénol” étant le plus important. Il fut ainsi nommé parce qu’il est brillant lui aussi. En 1838, la même racine est reprise. Le mot “phosphène” est utilisé par deux chercheurs de disciplines différentes. Le naturaliste Lelorgne de Savigny l’emploie pour désigner une variété de vers luisants, et le physiologiste Venzac pour désigner les sensations lumineuses spontanées. Le Docteur LEFEBURE a créé le mot “Phosphénisme” en faisant ce qu’on appelle en grammaire, un néologisme par restriction à partir du mot phosphène, dont la racine principale vient du grec “phôs”, lumière, et rappelle Phœbus, le Soleil.
Les phosphènes sont donc toutes les sensations lumineuses subjectives, ou images de persistance rétinienne. En obscurité, ils se présentent sous la forme de taches de couleurs changeantes en mouvement, et durent environ trois minutes. On peut effectivement les voir glisser dans le champ visuel, donnant l’impression de partir d’un côté, s’élever ou tomber ; ou bien s’éclipser puis réapparaître, pulser, trembler, se balancer, ou encore tourner. Les phosphènes ont des propriétés très particulières, dont on ignorait tout avant les recherches du Docteur LEFEBURE. On peut considérer les phosphènes comme une énergie intermédiaire entre la pensée et la matière : ils sont photographiables et leur troisième phase, la lueur diffuse, qui se présente sous la forme d’un halo, permet de percevoir les objets physiques en pleine obscurité.
L’analyse des phosphènes nous montre qu’ils sont l’expression directe de nos rythmes cérébraux. Ils sont le reflet amplifié du fonctionnement cérébral et permettent de savoir ce qui convient ou non à notre cerveau. Ils nous montrent très exactement comment fonctionne notre cerveau et sont même plus sensibles que l’électroencéphalogramme. Grâce à l’observation des phosphènes, le Docteur LEFEBURE a découvert des rythmes cérébraux qui étaient inconnus avant ses travaux.
C’est le principe de la Cervoscopie, qui nous fait découvrir les véritables lois de la pensée provoquant le développement des capacités cérébrales et intellectuelles les plus élevées, ainsi que le développement des facultés psychiques les plus puissantes, comme le Dr LEFEBURE en a fait l’observation : l’un des intérêts majeurs de l’étude des phosphènes est qu’ils sont régis par les mêmes lois de périodicité que la “pensée élémentaire”, les images mentales les plus simples sur lesquelles nous pouvons porter notre attention. Ils obéissent aux mêmes rythmes que nos pensées lorsqu’elles sont abandonnées à elles-mêmes, par suite de la cessation de toute sollicitation sensorielle extérieure.
COMMENT UTILISER LES PHOSPHENES ?
Cependant, faire des phosphènes seuls ne développe rien. Pour canaliser l’énergie du phosphène, il est nécessaire de mélanger une pensée au phosphène. Ce mixage s’effectue de manière très simple : pour une pensée visuelle, il suffit de retrouver le souvenir d’un objet, par exemple, et d’y penser dès le début de la fixation, car le cerveau bénéficie déjà de l’apport de la lumière. Au bout de trente secondes, après extinction de la lampe, on continue à penser à l’objet, mais en acceptant les idées qui s’imposent spontanément, même si elles sont apparemment sans rapport avec la pensée choisie. La pensée étant extrêmement dynamique, ce sont tous les aspects intellectuels qui se développent au jour le jour par ce mixage.
Cette réflexion qui s’organise spontanément, s’effectue pendant la présence du phosphène. Lorsque le phosphène a disparu, on fixe à nouveau la lampe pendant une trentaine de secondes, en continuant à laisser évoluer la pensée de façon spontanée. On peut ainsi faire autant de phosphènes que l’on veut. On peut également mixer une pensée auditive dans le phosphène, c’est-à-dire que l’on choisira un thème auquel on pensera pendant la fixation, puis, après extinction, on se laissera aller à la réflexion spontanée. Les idées qui viennent ainsi, permettent le plus souvent de développer et d’enrichir la réflexion. Cela constitue un extraordinaire développement de l’idéation et de la créativité. Cette technique s’appelle MIXAGE PHOSPHENIQUE.
Ce simple exercice pratiqué régulièrement permet déjà d’obtenir en peu de temps d’excellents résultats. Il est possible de l’employer tel quel pour étudier dans le cadre scolaire (il est donc recommandé aux enfants), car l’énergie du phosphène renforce et densifie la pensée, et par conséquent, permet le développement de la mémoire, de l’idéation et de la créativité, d’une façon très étonnante. Le Docteur LEFEBURE a développé l’application des phosphènes dans l’enseignement, dans son ouvrage “LE MIXAGE PHOSPHENIQUE EN PEDAGOGIE”. La pédagogie est un exemple de l’utilisation des phosphènes dans la vie courante, mais il n’est pas nécessaire de faire des études pour pratiquer le Mixage Phosphénique. Cet exercice peut être effectué par tout le monde, des enfants aux personnes âgées. Les résultats sont toujours très bénéfiques. Cependant, il est possible d’aller plus loin encore, et d’obtenir des résultats plus poussés.
FACILITER L’APPRENTISSAGE AUX ENFANTS
Sur le plan pédagogique, le Phosphénisme détruit la notion d’inaptitude et cela, quelle que soit la matière étudiée. Les avantages du Phosphénisme ne sont pas minces en milieu scolaire. Il développe la mémoire ainsi que le sens de l’initiative. De plus, l’attention se voit accrue dans une large mesure, ce qui entraîne une meilleure compréhension dans des matières aussi difficiles que les mathématiques par exemple.
Le Phosphénisme donne la possibilité aux enfants qui ont des problèmes de retard scolaire, de lecture, de dyslexie, de dysorthographie, etc., de rattraper rapidement le niveau général de la classe, et même de dépasser la moyenne. Le Phosphénisme est également très utile à l’étudiant pour améliorer ses dissertations car, puisque l’attention est soutenue plus longtemps que la moyenne, l’esprit est moins distrait et cela facilite la recherche des idées et permet de réaliser des devoirs plus approfondis que d’habitude. Pour l’apprentissage d’une langue, le Phosphénisme facilite la mémorisation des mots nouveaux, des constructions grammaticales et permet également d’obtenir une très bonne prononciation. Les effets se font sentir même après la séance de phosphènes.
Le Phosphénisme permet donc la rapide évolution intellectuelle de l’élève et de l’étudiant.
LE PHOSPHENISME DANS L’HISTOIRE
En outre, le Phosphénisme est une constante dans l’histoire de l’humanité. Cela ressort très nettement des études faites sur les grandes civilisations. Dès que l’on a quelques connaissances dans le domaine du Phosphénisme, il est possible et même aisé, de comprendre les aspects cultuels, culturels et intellectuels, en rapport avec le Phosphénisme.
La pratique et l’utilisation des phosphènes remontent à la nuit des temps. Les phosphènes, sous d’autres appellations, sont une pratique universelle, d’où l’importance des cultes solaires, lunaires et des cultes du Feu, dans l’Antiquité. De nos jours encore, les Zoroastriens fixent le feu sacré, associé à la prière. Les Celtes pratiquaient un culte solaire et fixaient les reflets du soleil sur l’eau pour développer le “don de divination”. Les principaux dieux grecs et romains étaient des dieux de la lumière, comme Zeus, Dyonisos, Jupiter, Vesta, etc.; et ces civilisations prenaient leurs fondements dans l’utilisation des fixations de sources lumineuses.
Chez les Romains, les Vestales, les gardiennes du Feu, étaient les garantes de la société romaine, auprès des dieux. On prêtait serment en fixant le soleil levant. C’était le culte à l’Aurore. Les affaires étaient conclues en se serrant la main tout en fixant un feu, ce qui constituait un contrat moral qui ne pouvait être outrepassé.
En fait, le mélange de l’idée du contrat au phosphène obtenu par la fixation du feu, densifiait considérablement la pensée, ce qui constituait un gage que le contrat serait tenu.
En Grèce, l’initiation majeure était constituée par les Mystères d’Eleusis. Le grade le plus élevé des Mystères d’Eleusis était “la Contemplation de l’Épi de Blé” : le candidat à l’initiation était introduit dans une grotte éclairée par une torche. On demandait au candidat de fixer la torche, puis on lui mettait un bandeau sur les yeux, en lui disant d’observer la “lumière spirituelle”. Cette lumière ne pouvait être qu’un phosphène.
Ensuite, il fixait à nouveau la torche, puis, le bandeau sur les yeux, il devait imaginer un épi de blé. Ce processus correspond très exactement au mixage phosphénique, mélange d’une pensée au phosphène. Il était interdit de révéler le contenu des Mystères d’Eleusis, sous peine de mort. La raison en était que les Mystères d’Eleusis étaient le fondement même de la société grecque. Tous les grands hommes de l’Antiquité grecque sont passés par les Mystères d’Eleusis. La civilisation grecque a commencé à péricliter à partir du moment où les Romains ont interdit les Mystères d’Eleusis, ce qui démontre que les enseignements qui y étaient transmis avaient un impact considérable sur le développement intellectuel et créatif de toute une société.
LES 3 PRINCIPALES PHASES DU PHOSPHENE
EVOLUTION D’UN PHOSPHENE
DE L’INITIATION A LA CONNAISSANCE
Il y a quelques années, un mathématicien grec décrivait une technique initiatique que son père lui avait enseignée lorsqu’il était enfant. Cette technique remontait en droite ligne aux Mystères d’Eleusis, et s’était transmise dans cette famille, de génération en génération. Or, remontant à l’époque où les Mystères d’Eleusis étaient encore florissants, cette famille était essentiellement constituée de mathématiciens, ce qui démontre les retombées de cette simple pratique sur le développement intellectuel.
Ce secret initiatique était le suivant : le père avait indiqué à son fils d’aller réviser ses leçons face au soleil, devant un champ de blé. On comprend que les phosphènes avaient un rôle important dans le développement intellectuel des individus qui suivaient cette initiation. La luminosité du ciel grec et la force du soleil sont telles qu’il y a une action très profonde de la lumière sur l’organisation cérébrale, sans même avoir à fixer le soleil. La révision des leçons à cette forte luminosité constitue un mixage de la pensée au phosphène. L’autre élément important dans l’initiation, est la notion de rythme.
En effet, un champ de blé est une masse sans cesse en mouvement d’ondulation, portée au gré du vent. Ce mouvement, comme la vague, est emporté dans un rythme régulier qui s’imprime dans la pensée. Les idées et réflexions sur lesquelles on travaille pendant ce mixage s’organisent et se structurent autour du rythme, ce qui imprime ce rythme dans la pensée. Or, les capacités psychiques ne peuvent se développer qu’à partir de l’entretien d’un rythme dans la pensée; et pas n’importe quel rythme. C’est ce qui explique que toutes les formes de “méditation” (du latin meditatio, exercice), consistent en la répétition de mantras (sons mentaux), ou de litanies, de manière à entretenir certains rythmes physiologiques. La tradition occidentale a retenu la pratique de la prière, qui se faisait, autrefois, par la répétition de courtes phrases. Le chapelet est la répétition cyclique de courtes prières, qui, à l’origine, était accompagnée de balancements, comme on le retrouve dans toutes les traditions initiatiques authentiques.
Ainsi, grâce aux recherches du Docteur LEFEBURE, nous accédons directement à la connaissance la plus profonde ; celle qui paraît constituer un mystère pour tout le monde : entretenir et développer ses propres rythmes, de manière indépendante. En définitive, le Phosphénisme est le lien et le fondement de toutes les religions et de toutes les connaissances initiatiques.
Le Phosphénisme c’est une fonction naturelle du cerveau. Les techniques phosphéniques utilisent les rythmes naturels du cerveau et du corps pour développer ce qu’il y a de plus élevé dans l’Homme.
Nostradamus
Le célèbre Nostradamus (1503-1566) écrivait ses fameuses prophéties les “Centuries” la nuit dans sa maison de Salon de Provence, à la lumière d’une bougie, souvent en face d’un miroir argenté ou d’une boule de cristal. Il faisait ainsi un co-phosphène et, de surplus, avec une lumière polarisée.
Par ailleurs, il fixait le reflet de la lune sur un plateau d’argent, lumière qui est, rappelons le, polarisée.
La lumière polarisée développe l’intuition et, pour peu que l’on pousse un peu la pratique, la voyance.
Ne dit-t-on pas que la lune inspire les poètes ? Oui, mais à condition de la fixer. Voir la technique complète dans le livre : “La Clé des manifestations surnaturelles”.
Or, cette technique utilisée par Nostradamus (technique du co-phosphène) est d’une efficacité extraordinaire et complètement occultée par un fatras d’éléments qui font que seuls les initiés (les phosphénistes) comme vous maintenant peuvent comprendre la réelle pratique à laquelle il s’est livré.
En résumé, pourquoi spéculer autant sur les Centuries de Nostradamus ? Si tous les livres écrits sur lui avaient été tournés autour de sa pratique des phosphènes, l’humanité n’en serait pas là où elle est aujourd’hui…