TECHNIQUES PHOSPHENIQUES
ORAGES TÉLÉPATHIQUESCENTRE D’ÉTUDE des PHÉNOMÈNES PHOSPHÉNIQUES COLLECTIFS
“Acceptez-vous de prêter votre concours pour l’étude des ORAGES TÉLÉPATHIQUES ?
Un tel orage est un phénomène fantastique, au cours duquel beaucoup de participants ont de splendides visions, et dont le caractère grandiose donne un élan vers le « sentiment de devenir » pour l’existence.
L’orage télépathique peut se produire lorsqu’une foule compacte, et alignée en rang en direction d’un grand feu, le fixe, parce que l’éblouissement, dû à la superposition de “phosphènes” à l’éclairage, est accompagné de l’émission par le cerveau d’une substance subtile qui est parfois photographiable. De plus, diverses catégories d’expériences montrent que ce phosphène est très transmissible par télépathie.
Cet orage aura davantage de chance de se produire si l’on s’est entraîné durant les mois précédents à la pensée d’un point tournant une seconde dans un sens, une seconde dans l’autre, à la périphérie d’un phosphène (tache lumineuse) consécutif à l’extinction d’une lampe.
Il est nécessaire d’être à jeun depuis au moins quatre heures, et il est très favorable que le repas précédent soit composé principalement de bananes.
Pendant la première minute de fixation, balancez le haut du corps de droite à gauche, sur le rythme de deux secondes (une seconde dans un sens, une seconde dans l’autre), la tête restant en permanence renversée en arrière. Lorsque l’on arrête le mouvement, l’amorçage pourra être facilité en fixant non le feu lui-même, mais un point un peu à côté, le regard restant détendu et parfaitement immobile, la respiration très lente et par les sommets des poumons.
A ce stade, un clignement des paupières peut le déclencher, mais s’il débute l’interrompre. Alors, chez certains sujets, le feu paraît s’obscurcir, sauter, pulser, tourner, surtout parmi ceux qui s’y sont entraînés avant la séance collective, et qui deviennent alors des inducteurs.
En cas d’échec, sans bouger les globes oculaires, fermez les paupières jusqu’à l’apparition du phosphène vert. Alors, pensez au point tournant en périphérie, puis rouvrez les yeux. Répétez patiemment ces manœuvres, en insistant sur celles qui favorisent le tremblement apparent du feu et les changements de couleur autour de lui, qui sont les prémices de la “danse du feu”.
En groupe, les chances de réussite sont plus grandes, et s’il se produit, le phénomène devient splendide parce que tous les rythmes des phosphènes s’emballent par résonance télépathique. C’est la transformation de la “Danse du feu” en “Prodige du feu”.
Les personnes qui ne verront pas cette danse se contenteront de pratiquer le “Mixage”, c’est-à-dire le mélange entre une pensée précise et l’éblouissement ; elles auront quand même souvent des visions, ou des intuitions utiles.
L’étude de ces faits est de la plus grande importance pour plusieurs sciences, mais ne peut se continuer qu’avec des foules. Nous prions les personnes qui accepteraient de nous aider à organiser ces séances de bien vouloir prendre contact avec nous.